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Hésitations sur le bateau

Plus on lit, plus on visite les salons, plus on pose des questions, plus on s’aperçoit que les choix sont multiples, que l’on a des idée reçut, que le choix du bateau implique des choix de navigation, et inversement…
Du coup on a évoluer de l’évidence de choisir un catamaran neuf « pour être tranquille » d’une grande marque  » pour être « serein sur la qualité », vers l’idée d’un trimaran neuf Neel, puis en voyant les déconvenue de propriétaires avec le chantier et le produit, on a abandonné, puis re-hésité, puis découvert que c’est pas mieux ailleurs dans les grand chantier, découvert que c’est un monde de requins, qui cherches tous a plumer les pigeons, que il n’y avais aucune garantie concernant votre investissement ( vous pouvez tout perdre si le chantier fait faillite et vous n’aurez que vos yeux pour pleurer), et que tout le monde, chantier , banque, concessionnaire, feront pression pour que vous acceptiez le bateau sans réserve , malgré les défauts).

Puis découvert que les bateaux que l’on croyais être des bateaux de voyage sont en fait tous des bateaux conceptualisé pour les gros acquéreurs du marché: les sociétés de location des Antilles. Du coup on a des « caravanes » sur l’eau, lente, super luxueuse, prévu pour accueillir touristes qui vont louer une semaine aux Antilles en navigation côtière, 1H de navigation entre 2 mouillages, piloter par des « marin » peu expérimenté, qui ne ferons que une transatlantique ( pour allez aux Antilles au portant avec un skipper pro ). Donc on a des bateaux construit dans cette optique, pas prévu pour les tempêtes ou les vagues, pas prévue pour les zones froide, pas prévu pour être réparable en mer, pas prévu pour être réparable dans une zone sans grue pour les sortir de l’eau, lourd et lent… Alors évidement les architectes on quand même fournit le minimum vital pour que le bateau soit accepter en catégorie A ( hauturier ) et évidement ces bateaux sont quand même suffisamment sécuritaire pour affronter 50 noeuds de vent si on fait pas de grosse erreur, mais avouons le, ce n’est pas des bateaux conceptualiser pour l’aventure.
D’ailleurs le terme « péjoratif » utiliser pour décrire ces bateaux est je trouve assez correct, on dit que ce sont des « caravanes », et on achète pas une « caravane » pour allez sur les pistes africaine ou patagoniene, on achète plutôt un land rover, ou un camping car 4×4 tout terrain, voir même une 2cv ( voiture conceptualiser sur ce cahier des charge: « « Faites étudier par vos services une bicyclette à quatre places pouvant transporter deux cultivateurs en sabots, cinquante kilos de pommes de terre ou un tonnelet à une vitesse maximum de 60/65 km/h en ligne droite sur route plate, pour une consommation de trois litres d’essence aux cent. Elle doit être étanche à la pluie et à la poussière. En outre, ce véhicule doit pouvoir passer dans les plus mauvais chemins, doit être suffisamment léger pour être manié sans problèmes par une conductrice débutante. Son confort doit être irréprochable car les paniers d’œufs transportés à l’arrière doivent arriver intacts. Elle doit durer 50 000 kms sans qu’on ait à remplacer aucune pièce. Son prix devra être bien inférieur à celui de notre Traction Avant et, enfin, je vous précise que son esthétique m’importe peu. » ».

Dans le monde du nautisme ce genre de « bateau d’aventurier » ce sont les monocoques aluminium prévu pour allez en antarctique ou au passage du nord ouest comme les OVNI des chantier Alubat, ou les garcia exploreur de garcia yatch, sauf que le monocoque on a exclus ça d’emblée.
En version multicoques, les multicoques d’aventure s’apparente plutôt a des bateaux « simple » « léger » et « rapide ». Simple car plus c’est simple plus c’est facile a réparer, et a entretenir partout dans le monde, Léger car ca veut dire que le bateau est épurer d’un maximum d’ameublement, que les coques sont presque partout accessible ( important en cas de voie d’eau d’avoir accès facilement a la coque pour trouver et colmater la voie d’eau sans avoir a démonter 3 penderies et 2 vaigrages pour la trouver), de plus léger veut dire rapide sur un voilier, et enfin Rapide pour avoir la possibilité de « fuir » une tempête annoncer a la météo en pleine transatlantique: entre une « caravane » qui avance a 5 noeuds et donc parcourt une centaine de milles en 24heure et une cata rapide qui en parcourt 200 voir même 250 miles ça fait 200Km de différences ! une sécurité qui peut permettre de parfois simplement évité le mauvais temps plutôt que le subir ou au moins d’être sur la partie extérieure de la dépression plutôt qu’au centre.

Résultat des courses on s’est mis a chercher des cata rapide comme les Lerouges, Looping, Catana, Marsaudon ORC et autres Outremer , mais c’est pas simple soit ces bateaux sont construit a l’unité par des tout petit chantier inconnu au 4 coins du monde, soit ils sont autoconstruit par des passionnés, soit ils sont inabordable… du coup on s’oriente actuellement vers une recherche d’occasion, mais pas simple de trouver la perle rare qui correspond a notre recherche dans un état qui nous convient, au bon moment, au bon prix… et avec l’occasion on est jamais serein sur le bateau, on a toujours une appréhension sur qu’est ce qui va lâcher prochainement… ( mais il parai que c’est pareil dans le neuf… ).

Wait and See

Une ébauche de parcour

Après de longues réflexion, on a une ébauche de trajet, difficile de concilier les été dans les hautes latitudes et évité la saison des cyclones, et les date de départ pour que les enfants rentre avant le collège. Le plus difficile va être d’être près dans les temps, 1 ans et demi c’est très court.

Le choix du bateau

Pourquoi un catamaran:
1) Pour la stabilité:
– le choix était indispensable, Stéphanie étant malade sur un monocoque.
– Moins dangereux pour le déplacement des enfant a bord.
– plus agréable pour jouer, dessiner, faire les devoirs, etc…
– plus simple pour faire la cuisine, ouvrir le frigo sans tout faire tomber
– et toute les autres chose plus simple a faire a plat ( je vous laisse imaginer ).

2) La place:
– plus de place que en monocoque

3) le plaisir au mouillage